Les employés sont généralement payés en fonction de la nature de leur travail. Mais malgré cela, nombreux sont ceux qui craignent la surveillance des employés sur leur ordinateur, surtout lorsqu’il s’agit des heures de travail. Dans le monde numérique, cette situation est encore aggravée, car la surveillance d’un employé sur son ordinateur est très facile à mettre en œuvre.
L’exemple le plus simple de la manière dont le temps passé en ligne par un collaborateur peut être surveillé est le statut des équipes. Celui-ci indique si le collègue est disponible, absent ou même hors ligne. C’est en tout cas pratique, car on voit si on peut atteindre le collègue ou non. Mais cela devient problématique lorsque ce statut est utilisé pour tirer des conclusions sur son comportement au travail.
Surveillance des employés sur PC
La surveillance d’un employé est très simple. Il est possible de lire des fichiers journaux indiquant quand l’employé allume ou éteint son ordinateur. Le statut des équipes est également un sujet explosif, qui permet tout simplement de tirer des conclusions sur le comportement du collaborateur au travail.
Des données souvent faussées
Les données numériques sont faciles à saisir et à analyser. Mais ces données et connaissances sur l’employé sont souvent faussées. En effet, il existe encore de nombreuses tâches sur le lieu de travail qui ne se déroulent pas sous forme numérique. Voici quelques exemples qui faussent les conclusions obtenues :
- Lecture de documents imprimés
- Téléphoner via le smartphone de service
- Échange (face à face) sur le lieu de travail
- Brainstorming sur des flip charts
La surveillance des collaborateurs sur le PC est souvent mesurée par le statut des équipes. Mais celui-ci est automatiquement réglé sur Absent si le bureau est inactif pendant une période prolongée. Ainsi, le collaborateur est affiché comme absent alors qu’il est effectivement au travail – mais pas sous forme numérique.
Exemples simples
Exemples simples de la manière dont une surveillance des employés peut avoir lieu sur le PC :
- Par le statut des équipes (Disponible, Absent, Hors ligne)
- Fichiers journaux (connexion / déconnexion à Windows)
- Exploiter les données de téléphonie
- Temps passé en ligne sur Skype ou des applications similaires
- Débit de données pour les connexions VPN
- Lecture des ouvertures de porte au bureau
- et bien d’autres encore !
Nombre de ces données ne peuvent être obtenues que par le biais du service informatique. Toutefois, dans les petites entreprises, l’influence d’un directeur sur certains employés est énorme. Ainsi, des données qui ne devraient pas être déterminées sont souvent exploitées.
Surveillance non autorisée !
Nous attirons votre attention sur le fait que la surveillance des employés n’est pas autorisée. Sur l’ordinateur, c’est malheureusement beaucoup trop facile pour les supérieurs – et pourtant, ce n’est pas autorisé. En effet, les temps en ligne, le débit de données et les fichiers journaux ne sont souvent pas corrects à 100% (comme décrit ci-dessus). En effet, ces données sont souvent faussées et donnent donc une fausse image du collaborateur.
Mais il est bien sûr possible de mesurer une prestation de travail à l’aide d’indicateurs de processus. Les supérieurs doivent pouvoir voir si les processus internes sont efficaces et, si nécessaire, adapter les écoles ou les processus des collaborateurs. La lecture et son objectif devraient toutefois être réglés dans des accords d’entreprise. Comme il ne s’agit pas de notre domaine de compétence et qu’il s’agit d’un autre sujet, nous souhaitons en rester là.
Empêcher la surveillance des employés sur leur PC
En tant qu’employé, il est possible d’y remédier activement : Pour renforcer la protection des données et empêcher la surveillance des employés sur leur ordinateur, il existe un logiciel adapté. Avec le Status Holder, le statut des équipes peut être mis en permanence sur Disponible. L’avantage est évident : Status Holder est gratuit, ne doit pas être installé et est 100% légal.
Dès que le statut des équipes est toujours disponible, les données sont falsifiées dans un sens positif et ne permettent pas de tirer des conclusions sur le comportement au travail du collaborateur. Le Status Holder ne fonctionne pas seulement pour Teams, mais aussi pour Skype, Slack et de nombreux autres logiciels.
